Description
La catastrophe financière de 2008 a marqué le début d’une profonde crise d’identité en Occident. Après la faillite de l’américain Lehman Brothers, les gouvernements du monde entier ont commencé à soutenir leurs institutions financières avec des sommes illimitées d’argent des contribuables. Les petites et moyennes entreprises feraient faillite et les habitants des États-Unis continueraient d’être expulsés de leurs maisons tandis que l’élite financière obtiendrait un soutien public considérable. En d’autres termes : socialisme pour Wall Street, capitalisme pour Main Street. Il est devenu douloureusement clair que le libre marché et le capitalisme ne fonctionnaient pas pour les banques et les institutions financières.
Vient ensuite la crise de l’euro, avec la dette de la Grèce en son centre. Certaines économies européennes souffrent du déséquilibre entre les revenus et une dette publique croissante. En 2015, il était évident que les dirigeants européens n’avaient aucune solution pour la Grèce et en auront encore moins pour les problèmes similaires qui se poseront inévitablement et prochainement en Espagne, en France et en Italie.
La révolution de la classe moyenne
En 2015, l’Europe a été confrontée à une invasion d’immigrants aux proportions bibliques. La Suède avait remplacé sa propre population décroissante par des habitants du tiers monde depuis longtemps, mais c’est cette année-là, que les gens du peuple se sont soudain rendu compte que ce processus démographique, aussi lent soit-il, est devenu impossible à arrêter.
Depuis la crise dite des réfugiés de 2015, les citoyens de nombreux pays européens ont commencé à comprendre que la migration en provenance du Tiers Monde n’a pas un effet marginal mais qu’elle transformera une grande partie du continent. Les campagnes de France, d’Espagne et d’Italie se dépeuplent tandis que les grandes villes sont rapidement colonisées par des non-Européens. Les partis de gauche n’osent pas parler des migrations et de leurs conséquences. Ils accusent les partis anti-immigration Lega Nord (Italie), AfD (Allemagne) et FN (France) d’alarmisme et de populisme. Alors que les socialistes de toute l’Europe assurent à leurs électeurs que rien de spécial ne se passe, la réalité est que plus de 50% des jeunes dans des villes comme Amsterdam et Paris sont maintenant d’origine non européenne. Il n’est donc pas surprenant que ce soient les partis patriotiques de droite anti-migrants qui obtiennent des voix aux élections. La dernière surprise s’est produite en Andalousie, en Espagne, où les socialistes ont perdu leur base de pouvoir traditionnelle.
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