Gefira #31 La dissolution des sociétés européennes

Description

Le président français Emmanuel Macron suit les pas de son prédécesseur en marquant de moins en moins de points de popularité dans les sondages. Cet homme venu de nulle part, dont la seule tâche était d’empêcher Marine Le Pen de gagner, poursuit la politique menée par ses maîtres marionnettistes, et il ne peut que se conformer. Les mesures qu’il a prises ou qu’on lui a conseillé de prendre se sont heurtées à la résistance populaire. Ce n’est plus qu’une question de temps avant d’apprendre si le mouvement des gilets jaunes est un mouvement spontané, ou une anifestation de la lutte de pouvoir qui divise les élites françaises, ou une ingérence extérieure : russe ou américaine.

Les problèmes du Vieux Continent n’ont été qu’atténués pendant un certain temps, et en tant que tels, ils sont comme une bombe à retardement qui attend des circonstances favorables avant d’exploser. Le programme d’assouplissement quantitatif mis en oeuvre il y a quelques années montre clairement que l’Europe se prive de l’un des instruments économiques les plus importants, à savoir l’argent, parce que l’argent imprimé à volonté ne peut pas être véritablement appelé argent. Si l’on ajoute à cela l’effondrement démographique et l’émergence concomitante de factions belligérantes entre les Etats membres qui se divisent en deux groupes : ceux qui veulent et ceux qui refusent d’accepter des immigrants du tiers monde, nous obtenons l’identité européenne la plus représentative, et ce portrait semble maussade.

L’éradication des Européens blancs

Notre équipe a mené beaucoup de recherches indépendantes sur l’effondrement démographique imminent de la population européenne. Le Vieux Continent est aux portes de l’une de ses plus grandes expériences sociales, pouvant changer sa face de façon profonde et irréversible. Selon les données de l’ONU, la proportion d’Européens âgés de 15 à 65 ans par rapport à ceux âgés de plus de 65 ans est de 4-5 pour 1 ; en 2050, elle sera de 1,5-2,5 pour 1 ; on prétend donc que pour maintenir ce rapport, le nombre de personnes en âge de travailler sur le nombre de personnes âgées doit être à 3 pour 1, il faudrait 235 millions de migrants, soit environ 20% de la population africaine actuelle.

Pour la France, le Royaume-Uni et les États-Unis, la situation semble un peu meilleure parce que ces pays ont accepté beaucoup plus d’immigrants au cours des deux dernières décennies. Le chômage et la participation au marché du travail parmi les immigrants non européens, en particulier en provenance d’Afrique, sont très faibles. Les banquiers centraux, les PDG des multinationales et l’establishment de Davos sont pleinement conscients de ce changement cataclysmique, mais personne n’ose en parler. Leurs sbires : les médias grand public, les universitaires, les ONG et les groupes de protestation militants, essayent de museler la bouche de tout le monde. Le Gefira ne se laissera pas réduire au silence.