Description
En cette fin d’année, c’est peut-être une certaine époque qui s’achève, une époque où l’anti-culture, qui se fait appeler culture de l’annulation, va enfin rendre son dernier soupir et emporter dans la tombe toutes les abominations dont elle nous a gratifiés depuis plusieurs décennies. Et cette culture de l’annulation nous a fait des cadeaux généreux : la guerre des sexes, la guerre des races, la guerre du sexe biologique, la guerre de l’homme contre l’homme pour la défense des animaux et des plantes ! Il suffit de penser à toutes les folies que nous avons vues : des mannequins sur les podiums dans des tenues de nonnes ridicules (quel genre de psyché faut-il avoir pour faire quelque chose comme ça ? ), des agriculteurs néerlandais arrêtés par la police pour avoir refusé d’abandonner les champs qu’ils cultivent depuis des générations, des trains de sanctions successifs qui frappent ceux qui les imposent, le remplacement ethnique constant qui est effectué dans les pays dits démocratiques sans que l’on demande le consentement des populations, la folie des virus, et l’aveu final des autorités que les personnes vaccinées… meurent plus souvent que les non-vaccinés ! (cependant, si, il y a quelques mois encore, telle ou telle personne déconseillait d’exagérer les restrictions sanitaires, elle était punie ou, au mieux, ridiculisée), des hommes qui ont des coupes de cheveux que les femmes portent, des personnes des deux sexes tatouées de la tête aux pieds, une adolescente suédoise qui jette un sort à des présidents et des premiers ministres complaisants, une déesse amazone à l’intérieur du temple le plus important de l’Église catholique, des oligarques ukrainiens d’origine juive qui paient pour les milices nationalistes ukrainiennes et… antisémites, un Premier ministre indien au Royaume-Uni, des résultats de recensement montrant que les deux plus grandes villes britanniques sont chacune peuplées d’une majorité de personnes de couleur, les mêmes statistiques montrant que le Royaume-Uni n’est plus un pays chrétien, l’agenouillement rituel des athlètes en soutien aux Noirs ou aux personnes présentant des déviations sexuelles lors de compétitions internationales… la liste est sans fin !
L’année touche à sa fin, l’obscurité va s’étendre pendant encore quelques jours seulement, puis elle commencera à reculer, puis elle commencera à laisser place à la lumière. Espérons que non seulement cette obscurité astronomique commencera bientôt à perdre son pouvoir, mais aussi sa contrepartie humaine, sociale et mentale. L’absurdité et la folie se sont tellement accumulées qu’elles ne peuvent que s’améliorer. Si aucun argument n’aide plus, les gens dégrisent généralement lorsqu’ils se retrouvent face à un vrai problème, à une vraie pauvreté, à un vrai défi et à une vraie menace. Nous avons une guerre. Nous avons une guerre en Europe de l’Est. Cette guerre va entraîner une crise économique. Lorsque des millions de personnes commenceront à mourir de faim et de froid, lorsque le temps du procès s’éternisera, elles cesseront de penser au changement de sexe ou à la compensation pour l’esclavage, qui a pris fin il y a 200 ans, elles cesseront de se tatouer et de s’habiller ridiculement avec des habits de nonnes : elles commenceront simplement à se battre pour survivre, pour un repas modeste et un peu de chaleur à la maison. D’un jour à l’autre, ils se rendront compte de ce qui est important et de ce qui ne l’est pas, ils découvriront d’où viennent le pain et le carburant (pas des magasins ou des stations-service !), ils prendront soudain conscience que la famille et la nation comptent après tout, tout simplement parce qu’une personne seule, lorsque les systèmes de protection sociale disparaissent, n’est pas en mesure de survivre au jour le jour. Qui se donnera alors la peine de promouvoir l’assignation d’un sexe à un autre ? Qui pensera alors à installer des toilettes pour le troisième sexe ? La guerre et les privations disciplinent efficacement les gens. Très efficacement. On peut donc espérer que l’absurdité et la folie prendront bientôt fin. Que le jour viendra.
Reviews
There are no reviews yet.